Solange La Bourge « Saison 2 » : Enculée Comme Une Pute Par Un Jeune Maghrébin. (Partie 10/10)
Le récit qui va suivre fut tiré dune des nombreuses histoires que Solange avait vécues avec lapprobation de Patrick, son mari candauliste. Après avoir recherché dans son journal intime, parmi les 250 histoires à raconter, elle choisit son aventure avec Nassim. Patrick aimait voir son épouse dans des parties de sexe où se mêlaient, lhumiliation et la soumission. Il voulait la savoir baiser par des individus, jeunes ou vieux, blancs ou noirs, il aimait le contraste et voulait surtout que sa femme jouisse afin quelle en redemande. Solange vous narre donc cette histoire.
Il y a quinze ans de cela, Martin le fils de Patrick et de Giselle allait fêter ses vingt ans, pour ma part, jallais sur mes trente et un ans. Fils de parents divorcés, cette fête organisée chez sa mère ne pouvait se passer sans son père. Celle-ci était prévue dans la belle propriété dAlain lami de Giselle, vers Orléans. Cétait un samedi de juin, le temps était magnifique, les tables étaient installées sous des barnums à lextérieur et le salon salle à manger sétaient transformés en salle de danse. Alain, par courtoisie nous avait proposé gentiment une chambre dami. La majorité des invités étaient des connaissances dAlain et de Giselle et bien entendu des amis denfance et de fac de Martin.
À trente ans, je me sentais plus proche de Martin le fils et de ses amis, que de sa mère et de son beau-père Alain et tous leurs amis qui frôlaient la soixantaine. Je choisis un ensemble, veste de Jean un peu délavée, mini-jupe, bas auto fixant, et un débardeur blanc à fines bretelles, des escarpins à talons aiguilles.
Les invités vont croire que tu es ma fille, me lança ironiquement Patrick.
Je fais trop jeune ? Répondis-je un peu déçue.
Non, les copains de Martin vont baver et lui demander dans quelle fac tu étudies et sil ta déjà sauté, et les amis de Giselle poseront aussi la même question. Jimagine les vieux copains dAlain dire : « elle sappelle comment cette pute ? »
Oh, non ! Tu trouves que je fais, heu
pute ?
Un peu.
Jespère bien, ça fait longtemps que je ne me suis pas éclatée à danser !
Éclate-toi comme tu veux.
Puis Patrick vint membrasser en métreignant tout en caressant mes rondeurs par-dessus ma jupe jusquà son pan.
Elle est à la bonne longueur, ni trop courte pour ne pas voir ta culotte et ni trop longue pour que des mains sachent ce quil y a en dessous.
Jhaussais les épaules et lui rétorquais :
Tu sais ce quil y a en dessous ?
Moi oui, les plus enhardis le sauront sans doute ! Enfin, comme je tai dit, profites-en.
Nous étions mariés depuis cinq ans que, je connaissais Patrick pour son candaulisme parfois exagéré, je pensais que si personne ne se retournait sur moi, il en serait contrarié, alors je ne touchais rien à ma tenue, jallais me maquiller avant de rejoindre les abords de la demeure où était dressé lapéritif. Je ne faisais que des sourires de convenance aux invités puisque je ne les connaissais pas et je laissais mon mari vaquer vers ses vieilles connaissances davant son divorce. Que ce soit femmes où hommes, leurs regards me considéraient de la tête aux pieds, et apparemment, ma tenue si désinvolte et presque incitatrice, devait faire de moi une fille aux murs légers, voire une catin !
Martin me voyant un peu perdu, à lécart vint à moi pour me présenter à ses amis. Enfin, la monotonie de cette soirée qui se profilait sestompa en la présence de Nassim, un étudiant en deuxième année dhistoire à Poitiers, qui était celle de la spécialisation en vue dobtenir une licence. Étant professeur dhistoire depuis cinq ans, nos atomes crochus se révélèrent très vite. Ainsi lorsquune personne venait à nous avec un verre à la main pour échanger, notre conversation barbante les faisait sen aller au plus tôt.
Je te présente Nassim. Nassim mon mari Patrick.
Je poursuivais en expliquant à Henri notre parcours similaire dans notre intérêt pour lhistoire. En tant que candauliste et entremetteur déclaré, en tout cas en ce qui me concerne, il glissa dans la conversation :
Je me posais la question, de vous voir ensemble depuis si longtemps, « tiens, le petit maghrébin est en train de draguer ma femme ».
Ho ! Fis-je un peu gênée non pour moi mais pour Nassim, excusez-le, mon mari a lart et la manière de mettre les gens mal à laise.
Cest faux ma chérie, quun jeune homme drague ma femme est très valorisant pour moi. Je suis sûr que vous ne pensiez pas que ce vieux que je suis à vos yeux, puisse être marié et coucher avec une telle merveille, non ?
Non monsieur, je ne savais pas, répondit-il en baissant les yeux.
Nassim, tu es de quel origine, tu as quel âge ?
Jai vingt et un ans, je suis français mais mes parents sont originaires du sud tunisien à la limite de la Lybie.
Et blague à part, tu la trouve comment ma femme ?
Arrête Patrick, dis-je avec lassitude, tu vois que tu mets Nassim dans lembarras.
Lembarras ? Lembarras dêtre obligé de parler de fac, dhistoire, de cours, plutôt que de te dire quil aimerait tavoir comme prof pour des leçons particulières, pas vrai Nassim ?
Quest-ce que vous cherchez, sinsurgea enfin létudiant, vous êtes un raciste refoulé et votre fantasme serait quun arabe se paye votre femme ?
Tinquiètes Nassim, elle sest déjà faites baiser par des maghrébins, mais peut-être pas par un tunisien. Sache que je ne suis pas raciste, mon plus gros défaut que les hommes ne me reprochent pas, cest quon regarde ma femme, quon la trouve belle et quon la désire.
Puis, il leva son verre et trinqua avec Nassim qui lui rendit un large sourire ressemblant à de la complicité.
Vous navez pas répondu à sa question Nassim, comment me trouvez-vous ? Puis je me rattrapais un peu tardivement. Oh ! Excusez-moi, cest à mon tour de vous mettre dans lembarras.
Ce que je pense de vous ? Dommage que les places soient nominatives et que nous ne soyons pas à côté lun de lautre.
Nassim fit un pas en arrière, puis me considérant il ajouta : « Sinon jaurais pu vous dire que le repas séternise et que jai hâte de danser avec vous, surtout les slows. » Tout le long du repas, Nassim jetait des coups dil à mon encontre. Je mennuyais à table, javais hâte dêtre à laprès repas. Dès le fromage servit, les amis de Martin nattendirent pas larrivée du gâteau, ils sengouffrèrent dans la pièce aménagée pour la danse et sous le tintamarre dune musique puissante, ils se mirent à danser. Quelques secondes plus tard, je sentis le souffle chaud se répandre sur mon cou.
Tu viens danser, nous navions pas fini notre conversation ?
Cétait Nassim qui, sous le regard de Patrick, minvitait dans un tutoiement plus intime. Je me levais et le suivais dans la salle.
Pour ce qui sont des slows, jai bien peur quil faille attendre longtemps ! Braillais-je pour me faire entendre.
Tu as raison, mais tu peux me tutoyer tu sais !
Quest-ce que vous dites ?
Viens !
Il me prit par la main pour le suivre.
Si tu ne veux pas attendre trop longtemps, on peut danser ici si tu veux ?
Sans musique ? Lui demandais-je.
Pour tavoir dans mes bras, je nai pas besoin de musique.
Il me tendit ses bras. Je me levais et jentourais son cou de mes mains. Les siennes mattirèrent à lui, en collant nos corps, et machinalement nous nous mîmes à nous déhancher presque lascivement sur une musique imaginaire. Nassim allait dire quelque chose, mais il se retint. Attendait-il que je lui demande la suite de son « je » pour que je parle ? Lincongruité du lieu, et du couple improbable que nous formions dansant lun contre lautre dans le noir et sans musique, ne me donnèrent que lenvie dêtre passive et dêtre guidée. Ses mains collées contre mes fesses me plaquèrent contre son bas ventre. Il menserra plus intensément contre son bas-ventre où je perçus que son sexe amorçait son érection. Jétais flattée de ressentir son désir envers moi, cependant je demeurais dans mon oisiveté, nosant, ou ne voulant provoquer la suite. Je ne pouvais pas, ne pas sentir sa grosseur, il en était conscient. Il devait prendre mon indolence comme une acceptation, ou une résignation de femme soumise. Ses lèvres se posèrent sur mon cou, sensuellement elles remontèrent jusquà suçoter mon lobe.
Ton mari a dit que des arabes tavaient déjà possédée, pourquoi a-t-il dit ça ? Chuchota-t-il à mon oreille.
Je ne lui répondis pas, trop attentionnée à la caresse de sa main gauche sur ma jupe, qui ostensiblement mais avec douceur, glissait vers ma cuisse. Jétais à lécoute de cette main caressante qui flattait mes chairs au-dessus de la jarretière de mon bas, lorsque ses phalanges parcourant ma fesse se rendraient compte que sous cette jupe de Jean jétais nue :
Tu ne portes pas de culotte ? Me murmura-t-il ?
Non, lui soufflais-je.
Cest ton mari qui veut ça ?
Jétouffais un « oui » tandis que sa main estimait mes rondeurs en sinsinuant du bout de ses doigts dans ma raie de manière plus charnelle quimpudique.
Cest ton mari ou ton maque ? Tes une
Ne sachant pas, il ne termina pas sa phrase, dailleurs je le coupais presque en susurrant un « cest mon mari, ne cherchez pas à comprendre ». Il se tut quelques secondes, sans doute dubitatif à mon comportement nonchalant. Ses baisers glissèrent de mon oreille, sur ma joue, puis sur mes lèvres dont il me força à les entrouvrir avant dy plonger sa langue. Le bécotage se transforma en une étreinte avide et lascive, presquà en oublier que sa main avait contourné mon bassin pour fourbir mon pubis glabre.
Javais oublié sa main, le lieu, le désir, lenvie dêtre sa chose, javais tout oublié, lui aussi. La concupiscence, la sienne, celle de me posséder, la mienne, quil me prenne dans le seul but de jouir, nous fit oublier que nous étions sur un parking plongé dans lobscurité, mais quil aurait pu advenir que
Je ne lai su que le lendemain, mais il était advenu que Giselle, la mère de Martin et ex de mon mari, était sortie de la maison pour aller chercher dans sa voiture, le cadeau danniversaire. Nassim et moi avions ignoré sa présence, mais qui avait dû durer assez longtemps pour quelle en ébruite des détails à beaucoup.
Ainsi, abandonnée au jeune tunisien, je goûtais à sa main qui se rassasiait mon pubis de bébé alors que sa langue me dévorait mes lèvres. Le vrai Nassim allait se dévoiler au fur et à mesure quil découvrait mon assujettissement à son encontre :
Salope ! Suis-moi !
Il me prit par le poignet et mentraîna vers le jardin, dans un endroit plus isolé. Nous nous sommes arrêtés vers une cabane où, sans plus attendre il mavait plaqué contre la porte :
Retire ça ! Vociféra-t-il tout en tirant sur la manche de ma veste.
Je lui obéissais tandis quaccroupi, il faisait glisser le long de mes cuisses ma mini-jupe. Son visage se plaqua contre mon ventre. Jécartais mes jambes, ses doigts écartèrent mes lèvres et dans un clapotis de ma jute et de sa salive, sa langue me forniqua bruyamment la vulve. Il ne se retirait que pour reprendre son souffle sans mot dire, avant de se repaître de nouveau de mon inimité. Des doigts englués de ma quintessence de femme lustraient mon anus désireux dêtre outragé, tant jen connaissais la jouissance quil pouvait me procurer. Je serrais sa nuque pour quil ne se dérobe de mon bas-ventre. Il se retira violemment.
Tu métouffes putain ! Laisse-moi faire !
Une goulée dair et il se replongeait dans mon entrecuisse. Deux de ses doigts violèrent mon illet flétri, je me mis à gémir. Dans mon insouciance et la volupté où je me trouvais, jôtais mon haut, mon soutien-gorge. Dune main je caressais la tête de Nassim et de lautre, je massais mes seins tout en pinçant délicatement entre deux phalanges mes tétons acquis à mon plaisir. Il se releva, pantalon à ses pieds. Il se tenait droit devant moi, tout en me tenant par les hanches. Voulant découvrir son sexe, bien que nous fussions dans la pénombre de la nuit, je le défiais du regard, et tout en continuant de me palper de manière dégradante mes seins, de mon autre main, je me saisis de son sexe, aussi raide quune matraque, ni trop long ni trop épais. Je me mis à le masturber. Il se laissa faire tout en adulant mes hanches. Après quelques secondes, il dit dun ton neutre mais ferme :
Tourne-toi, jai envie de tenculer.
Je fermais les paupières tout en baissant le visage en signe de subordination. Je me retournais face à la porte de la cabane, maccrochant de mes deux mains à la poignée, jécartais mes pieds et je me cambrais. Ses mains se posèrent sur mes fesses que je sentis sécarter. Un crachat éclaboussa ma peau, puis un second. Il se racla la gorge et un dernier souilla ma croupe offerte. Son gland senduisit de ses glaires avant de venir buter contre mon anus. Jessayais de me détendre bien que mes mains se crispèrent à la poignée. La pression de son gland augmenta peu à peu. Élargissant mes chairs, je ressentis la douce brulure de sa hampe qui sinfiltrait de toute sa longueur dans mes intestins. Bien que son ventre soit collé à mes fesses, il donna un coup de rein, désirant me pénétrer davantage.
Pute de ta race, taime te faire enculer, réponds ?
Oui, jaime ça, dis-je en toute impudicité tout en me cambrant plus que de raison.
Salope ! Tu lui diras à ton mari quun arabe ta enculé ? Je vais te défoncer ton cul ! Réponds, tu vas lui dire ?
Je neus pas à lui répondre, il sauto excitait à minjurier. Jéprouvais son envie de me posséder dans ses propos mais aussi maintenant par ses coups de boutoir, secs et violents, de ses testicules qui battaient le haut de mes cuisses dans le clapotis glauque de son sexe qui me sodomisait sauvagement. Il ne pouvait savoir que sa frénésie de vouloir me défoncer comme il disait et désirait le faire ardemment, sans doute dans le but de maffliger de la souffrance et de mavilir, renforçait mon plaisir de cette pénétration anale que jaffectionnais plus que tout.
Je me mis à gémir, osant ahaner des « encore, encore
» à chacun de ses coups de rein.
Ta gueule ! A tentendre en redemander tu vas me faire jouir !
Ah, cest bon, vas-y, encore
Pleurais-je de jouissance.
Ta gueule putain ! Vociféra-t-il en massénant une claque sur ma fesse.
Son rythme effréné se ralentit, mais la puissance de son ventre à vouloir me pénétrer samplifia, secouant mon corps à presque me faire meffondrer. Ma lourde poitrine qui ballotait sous moi venait cogner contre mon visage. Les minutes sécoulaient.
Je vais jouir dans ton cul !
Quelques coups de rein plus tard, je sentis son corps se raidir, ses mains sagrippèrent à la chair de mes hanches à me faire mal. Me tirant à lui pour quil mempale au plus profond, il poussa un son rauque et je ressentis son sperme chaud venir inonder mon anus. Impossible de me contrôler et de retenir mon corps qui fut parcouru de tremblements. Mon orgasme manéantit totalement. Les jambes chancelantes, javais du mal à reprendre mon souffle, je percevais le fruit de ma jouissance ruisseler entre mes cuisses. Nassim tout en restant en moi se pencha sur mon dos, de ses mains il malaxa mes seins sadiquement.
Enculer une prof dhistoire, non pas une prof dhistoire, une pute. Une pute de française et la souiller dans son cul ! Putain, tu ne peux pas savoir comme cest trop cool !
Il se retira après mavoir proféré dautres injures. Exténuée, je restais prostrée, les mains sur la poignée de la porte. Son sperme dégoulinait, se mélangeant à mon jus. Il était reparti vers les invités. Sans doute fier de mavoir possédée, sodomisée, insultée, souillée
Ce quil ne pouvait savoir, cest que cétait dans cette ignominie que ma jouissance, mon orgasme étaient la plus intense. Je renfilais ma jupe et ma veste de Jean, faisant attention de ne rencontrer personne, je regagnais la salle de bain de létage, près de notre chambre. Nayant pas encore recouvré tous mes esprits, flottant encore dans la volupté de cette relation, avant de faire couler leau de la douche, je me mis à me masturber en enduisant le bout de mes doigts, de son sperme et de ma jouissance.
Les propos que je viens dutiliser, sont assez soft, car jimagine que le site naccepte pas le racisme, ce qui est normal, toutefois, ceux de mon mari était assez anti-arabe pour le jeu. Quant à Nassim, très respectueux au début, fut très raciste envers moi, envers la blanche française. Pour lui me sodomiser devait être le summum de lavilissement.
Je me suis rendue compte que cest dans ce que jévoquais, cest-à-dire le non-respect de ma personne que javais des orgasmes bien plus conséquent quautrement. Ainsi bien plus tard jai consulté un psy, pour essayer de savoir le pourquoi, et non de remédier à mon état, puisque je my complais au travers de la jouissance.
Fin de la deuxième saison
Si, comme Solange et Patrick, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.
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